La dernière rencontre prévue dans le cadre du programme du maintien de la cohésion sociale en temps de covid s’est tenue dans la préfecture du Golfe plus précisément au Centre Communautaire de Tokoin le dimanche 25 juillet 2021
Elle a réuni, dans le strict respect des mesures barrières, une soixantaine de participants issus des sept communes de la préfecture du Golfe.
Modérées par MIJIYAWA Rahile, les discussions ont porté autour des questions suivantes :
🔰 La covid -9 et ses conséquences sur la cohésion sociale
🔰 Groupes mixtes de surveillance et autres composantes sociales, quelle relation pour une meilleure lutte contre la COVID-19 ?
🔰 Vaccination et COVID-19
Sur ces différentes questions, responsables de débit de boissons, les leaders religieux, les leaders communautaires et les conducteurs de Taxi ont exprimé librement leurs opinions.
Partant de la négligence ces derniers temps des populations en ce qui concerne les mesures barrières, les participants ont également cités les « bavures » des forces de l’ordre sur les citoyens, comme quelques attitudes inquiétantes dans le contexte actuel.
La cohésion sociale a été entachée, la pauvreté dans les ménages ne cesse de croître, les revenus des conducteurs de Taxi, des débits de boissons a connu une baisse fulgurante… quelques conséquences évoquées par les participants au Forum.
Influencés par la campagne de désinformations sur les réseaux sociaux, plusieurs voient d’un mauvais œil la vaccination, elle n’est pas efficace selon eux et ne voit pas son intérêt du moment où l’on peut toujours contracter la maladie.
Heureusement avec la présence des personnes ressources aussi bien au sein de la population qu’au sein de l’association ISCOME, des informations justes ont été apportée aux participants pour une lutte efficace contre la Covid-19
Notons qu’au-delà de tout, la séance a été un vrai cadre d’échange, un canal d’extériorisation des frustrations emmagasinées durant plus d’une année après l’arrivée de la maladie dans notre pays.
Ainsi le forum a permis aux différentes cibles de cerner mieux la nécessité du Vaccin grâce aux diverses interventions des agents de la Santé l’ISCOME.
Aussi, ce fut l’occasion idéale pour ces cibles d’émettre des propositions pour améliorer le vivre-ensemble entre le GMS et population.
Ce forum a été rendu possible grâce au partenariat technique et financier de l’USAID (United States Agency for International Development, l’Agence des États-Unis pour le développement international)
Après la préfecture de Yoto, c’était le tour des populations de Zio d’accueillir le forum citoyen sur la covid-19 ce mercredi 21 juillet 2021.
L’activité a également réuni dans le respect strict des mesures barrières différentes catégories sociales de la localité (leaders communautaires, leaders religieux, responsables de débits de boissons et les conducteurs de taxi et taxi motos).
A l’occasion, le SG de la préfecture de Zio représentant le préfet a ouvert l’activité suite aux allocutions de circonstance du président d’ISCOME et du consultant de l’USAID Reward. Comme dans le Yoto, partant des réalités de leur milieu, les différents participants ont pu s’exprimer librement sur les différents sous thématiques : (la COVID-19 et ses conséquences sur la cohésion sociale, le groupe mixte de surveillance (GMS) et autres composantes sociales, quelles relations pour une meilleure lutte contre la covid-19 ? La vaccination et la Covid-19).
A contrario du constat fait dans le Yoto, les populations du Zio admettent l’existence de la covid-19 toutefois, elles déplorent ses impacts négatifs au quotidien ; (Accentuation de la précarité des ménages dû à la baisse des revenus, mis en mal de la solidarité et de la cohésion sociale, bavures policières et pose exagérée de barrières sur les routes causant des accidents de circulation, mauvaise stratégie de communication et de sensibilisation sur la vaccination, multiplication des fausses informations…)
Ceci étant, les différents leaders présents n’ont ménagé aucun effort pour faire des propositions dans la dynamique d’endiguer la maladie et de renforcer la cohésion sociale.
Au niveau des autorités, soutenir encore plus les cas sociaux sans oublier l’aide aux élèves et étudiants, augmenter la sensibilisation sur la vaccination à travers surtout des portes à portes au besoin, davantage outiller les membres de la GMS pour une sensibilisation pacifique.
Pour les populations elles même, respecter et faire respecter les mesures barrières, partager et sensibiliser les autres sur le respect des mesures barrières et la vaccination et se faire vacciner
L’activité a pris fin sur une note positive. En effet, nombreux sont les participants qui ont déclaré avoir été vivifiés par les informations recues. Plus encore certains ont fait le choix de se faire vacciner dans les jours à venir.
L’association ISCOME a organisé ce samedi 17 juillet 2021 un forum citoyen sur la covid-19 dans la préfecture de Yoto placé sous le thème : « Améliorer le vivre ensemble entre la population et les acteurs engagés dans la riposte contre la covid-19 ».
Cette activité a marqué le début de la réalisation du projet « Plateforme de lutte et de médiation entre population et force anticovid soutenu par l’Agence des Etats Unis pour le Développement International (USAID). Elle a réuni dans le respect strict des mesures barrières différentes catégories sociales de la localité entre autres les leaders communautaires, religieux, les tenanciers de bars et les conducteurs de taxi et taxi motos. Au cours dudit forum, dans une approche participative, les sous thématiques suivantes ont été débattus : la COVID-19 et ses conséquences sur la cohésion sociale, le groupe mixte de surveillance (GMS) et autres composantes sociales, quelles relations pour une meilleure lutte contre la covid-19 ? La vaccination et la Covid-19.
Les différents échanges ont permis de constater que beaucoup sont désinformés par rapport à la maladie qu’ils considèrent toujours comme abstraite. Ils n’ont jamais vu de cas de covid dans leur localité, il n’y a jamais eu de décès lié à la covid. Donc pour certains la maladie dans leur localité serait une machination des autorités. Le manque de communication aidant, les mesures barrières instaurées pour vaincre la maladie sont décriées. Pour d’autres, la maladie existe mais à cause de la stigmatisation, les gens malades préfèrent se cacher. Unanimement ils ont reconnu que cette pandémie est incompatible à la cohésion sociale.
Ils ont ainsi soulevés les impacts générés par la covid-19 aussi bien sur le plan économique (cherté de la vie/ perte des emplois/ mévente) que social (augmentation des violences conjugales, diminution de la solidarité, mis en mal du vivre ensemble) sans passer sous silence les difficultés de collaboration avec les forces de l’ordre (surtout les conducteurs de taxi moto et les taxi brousses) et la peur de la vaccination dû au manque d’information crédible et d’exemplarité de la part des autorités locales.
Fort de tout ce qui précède des recommandations ont été formulées par les participants à l’endroit des autorités et de la population.
A l’endroit des autorités ; les participants souhaiteraient une meilleure communication, plus proche de la population, accentuer la sensibilisation autour de covid-19 ainsi que l’importance de l’observation des mesures barrières, accompagner les cas sociaux, accentuer la sensibilisation autour du vaccin et mettre en place un plan de développement, après la covid-19, qui prend en compte les couches vulnérables.
A l’endroit des forces de l’ordre/GMS: les participants préconise davantage une approche basée sur la pédagogie avant la sanction c’est-à-dire expliquer/rappeler les mesures aux populations avant d’appliquer les sanctions. (Privilégier le dialogue aux rapport de force).
Enfin, A l’endroit des populations ; sensibiliser leurs proches sur le respect des mesures barrières, sensibiliser/ partager la bonne information sur le vaccin et se faire vacciner.
In fine, l’activité a permis aux différents participants d’avoir une meilleure compréhension de la nécessité de leur implication dans les actions de promotion de la cohésion sociale et la prévention de heurts pour une lutte efficace contre la covid-19 dans la préfecture de Yoto. Aussi, ils ont pu partager entre eux et avec les autorités locales de la préfecture de Yoto les défis identifiés et leurs contributions pour le renforcement de la cohésion sociale et la prévention de frictions. La même activité se déroulera dans les préfectures de Zio et du Golfe.
Eric Lamak BANASSIMA, Chargé de Projets
Intervention d’un participant
Intervention d’un participant
Intervention d’une participante
Intervention d’un participant
Intervention d’un participant
Les participants
Contrôle de température, solution hydroalcoolique et cache-nez obligatoire
So, the alcohol builds up quite quickly,” explains addiction psychiatrist Akhil Anand, MD. And if you have one too many alcoholic drinks, you may start to slur your speech and have trouble walking in a straight line — and that’s all before dealing with a hangover the next day. Open Access is an initiative that aims to make scientific research freely available to all. It’s based on principles of collaboration, unobstructed discovery, and, most importantly, scientific progression. As PhD students, we found it difficult to access the research we needed, so we decided to create a new Open Access publisher that levels the playing field for scientists across the world.
Circuits Regulating Pleasure and Happiness: A Focus on Addiction, Beyond the Ventral Striatum
Overall, the clinical utility of atypical does alcohol deplete dopamine antipsychotics has shown to be of some benefit in patients suffering from alcohol dependence and a concomitant psychiatric diagnosis including schizophrenia 148, 149. Given the limitations of current non-invasive human neuroimaging methods, rodent studies have been instrumental in probing the neural circuits of behavior. While AB is difficult to model in rodents, much is known about Pavlovian conditioned responses to reward-predictive cues.
How long does it take for serotonin levels to return to normal after quitting drinking?
Healthcare providers, addiction specialists, and mental health professionals can offer valuable guidance, monitor progress, and provide interventions when needed. Support groups, such as Alcoholics Anonymous or SMART Recovery, can also provide a sense of community and shared experience that can be invaluable during the recovery journey. Symptoms of dopamine depletion may include decreased motivation, depression, anxiety, poor concentration, and reduced ability to experience pleasure.
Is damage from drinking reversible?
These animals exhibited reduced intoxication in response to a single dose of alcohol compared with normal mice, indicating that 5-HT1B receptor activity produces some of alcohol’s intoxicating effects. Several studies have shown that changes in the DA system in the CNS can influence drinking behaviors both in animals and https://ecosoberhouse.com/ in humans. Early animal models have shown that injection of the neurotoxin 6-hydroxydopamine (6-OHDA) in the ventricle or in other brain regions destroys dopaminergic neurons.
The 9 base pair repeat is extremely rare and in statistical studies, often clubbed with the 10 base pair repeat. Alcohol addiction and dependence of late has been shown to be affected by the influence of genes. The presence of such genes does not confirm whether a person will turn into an alcohol addict, but there is a high correlation amongst carriers of such genes and alcohol addiction. It has been around for thousands of years and has been known for its many stimulating and mind altering effects. It is a drug which is so commonly available in so many different forms and guises that it is often hard to even look at it in that way.
Serotonin also modulates the behavioral response to unfairness.48 Most of the drugs used to treat depression today work by increasing serotonin levels in the brain.49 The image below, shows, the regions of the brain where serotonin reaches Figure 3. Albeit the preclinical data look promising regarding the glycine transporter‐1 inhibitor Org25935, the multicenter randomized clinical trial produced a negative outcome on alcohol intake, but did not discard the potential importance of the mechanism 207. More promising clinical studies with varenicline show that this agent decreased alcohol consumption and craving in an experimental setting in heavy‐drinking smokers 208–210. Moreover, data from a randomized clinical trial in alcohol‐dependent individuals show that the smoking cessation agent reduced the weekly percent heavy drinking days drinks, decreased the drinks per drinking day as well as prevented alcohol craving 211. It should, however, be noted that recent clinical trials in alcohol‐dependent individuals were unable to find a beneficial effect of varenicline based on self‐reported alcohol consumption 212, 213.
When we drink, the brain’s so-called reward circuits are flooded with dopamine.
So when you’re managing stress or anything to do with your mood, you can be sure that dopamine is involved.
For example, different subpopulations of neurons in the striatum carry different dopamine receptors on their surfaces (Le Moine et al. 1990, 1991; Gerfen 1992).
It’s worth noting that alcohol is not the only substance that affects dopamine levels.
Despite its positive correlation, some studies have produced contradictory results.
These examples demonstrate that serotonin interacts with other neurotransmitters in several ways to promote alcohol’s intoxicating and rewarding effects.
Modified attentional blink task
In addition to dementia, long-term alcohol use can lead to other memory disorders like Korsakoff syndrome or Wernicke’s encephalopathy.
Collectively, this network of neurons was denominated the mesocorticolimbic dopamine system 12, 13.
These findings could explain why men are more than twice as likely as women to develop an alcohol use disorder.
In animal experiments, however, chronic exposure periods can last several months, and humans often will drink continuously for months or years at a time.
These findings support the extensive clinical findings demonstrating that alcohol‐dependent individuals have significant impairments in executive functions such as working memory, impulsivity and decision‐making; functions governed by the cortical brain structures. The development of alcohol dependence is closely tied to these changes in the dopamine system. As the brain becomes accustomed to alcohol-induced dopamine release, it may struggle to produce feelings of pleasure and reward without alcohol. This can lead to increased cravings, difficulty experiencing pleasure from other activities (a condition known as anhedonia), and a compulsion to continue drinking despite negative consequences. As the artificial introduction of dopamine caused by alcohol continues, the brain begins to “switch off” dopamine receptors as a way to combat the influx of the pleasure chemicals.
Avoiding people, places, and events linked to addictive behaviors, as well as learning new strategies to cope with disruptive or difficult emotions or life circumstances, are some examples. That’s because too much dopamine can create emotions of pleasure, anger, and strong sexual desires. Our recovery programs are based on decades of research to deliver treatment that really works.
Associated Data
With time, support, and healthy lifestyle choices, it’s possible to restore balance to the brain’s reward system and experience the full richness of life without alcohol. According to a study published in the Proceedings of the National Academy of Sciences of the United States of America, alcohol’s effects on dopamine levels and receptors are partially responsible for why relapse is so common for people recovering from alcoholism. It can take a long time for the brain to return to a pre-drinking state, and sometimes it never does. In a healthy functioning brain, only a certain amount of dopamine is released, and they rarely fill all of the dopamine receptors that are available.
Regular physical activity has been shown to increase dopamine receptor availability and improve mood. Both aerobic exercise and strength training can be beneficial, with some studies suggesting that high-intensity interval training may be particularly effective for boosting dopamine levels. During this initial phase, individuals may experience a range Twelve-step program of withdrawal symptoms directly related to dopamine fluctuations.